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IA et prise de décision en entreprise

L’intelligence artificielle s’est imposée comme un levier puissant pour transformer les entreprises, en particulier dans la prise de décision. Dirigeants et responsables opérationnels peuvent améliorer la qualité et la rapidité de leurs décisions stratégiques. Le tout en s’appuyant sur des systèmes intelligents.  Qu’il s’agisse de gestion des ressources humaines, de l’analyse des tendances du marché, ou de la prédiction des besoins des clients, l’IA offre des outils. Ils permettent de réduire l’incertitude et d’accélérer la prise de décision en entreprise.

Une exploitation des données survitaminée pour la prise de décision en entreprise 

L’un des principaux avantages de l’IA réside dans sa capacité à analyser d’énormes quantités de données en un temps court. En utilisant des algorithmes de machine learning, l’IA peut traiter des informations complexes et identifier des tendances ou des anomalies invisibles à l’œil humain.

Par exemple, dans le domaine de la finance, l’IA est en capacité de détecter des comportements évocateurs de fraude, de prévoir des risques mais aussi d’identifier les meilleures opportunités d’investissement.

En synthétisant efficacement les données, l’IA permet aux décideurs de fonder leurs choix sur des faits concrets, que sur des intuitions. Dans un monde où les entreprises doivent réagir rapidement aux évolutions du marché, avoir accès à des informations fiables en temps réel est un atout majeur.

Une prise de décision plus rapide et plus réactive

Notre environnement économique évolue en permanence et la capacité à prendre des décisions rapides est essentielle. L’IA fournit toutes les informations permettant de le faire en un temps record. Elle collecte et analyse d’un grand nombre de données.

Par exemple, dans le domaine du marketing, les entreprises peuvent ajuster en temps réel leurs campagnes en fonction des retours instantanés des consommateurs grâce à l’analyse prédictive.

Cette rapidité dans la prise de décision donne aux entreprises un avantage compétitif.  Ainsi, cela leur permet d’adapter leurs stratégies plus rapidement que leurs concurrents. Cependant, cette rapidité doit être accompagnée d’une supervision humaine. Le tout pour garantir que les décisions automatisées sont en phase avec les objectifs stratégiques.

La gestion des risques optimisée grâce à l’IA

L’intelligence artificielle joue un rôle déterminant dans l’identification et la gestion des risques. Par exemple analysant des millions de points de données, les systèmes d’IA peuvent anticiper les fluctuations du marché, détecter des failles dans les chaînes d’approvisionnement, ou alerter sur des menaces potentielles dans le domaine de la cybersécurité.

Certains secteurs sont soumis à des régulations strictes, comme la santé ou la finance. L’IA permet d’identifier les risques de non-conformité aux réglementations avant même qu’ils ne se matérialisent. Le bénfice pour l’entreprise ? Se prémunir contre les sanctions financières, mais surtout préserver sa réputation de l’entreprise. L’IA est une compétence clé pour l’entreprise de demain.

À propos

L’IA n’est plus une option, c’est une nécessité. Vous le savez, ne pas l’adopter, c’est risquer de prendre du retard sur vos concurrents.

Dès maintenant, faites passer votre métier à la vitesse supérieure et gagner en performance grâce à l’automatisation ! Nous vous accompagnerons dans chaque étape, prêts à prendre votre envol ?

 

Contactez-nous en MP : https://www.linkedin.com/company/leclandigital/

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Catherine PhilibertIA et prise de décision en entreprise
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Que peut apporter l’IA à l’entreprise ? 3 success stories

Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à bénéficier de  l’Intelligence Artificielle (IA). Mais pour la vôtre ?  Vous vous demandez peut être ce que l’IA peut vous apporter !  Expérience client, logistique, détection des fraudes, voici donc 3 retours d’expérience pour vous inspirer, chiffres à l’appui.

 

IA et personnalisation de l’expérience client chez Sephora

Sephora, enseigne de cosmétiques, a su exploiter l’IA pour offrir une expérience client de très haut niveau. Grâce à son application mobile, le géant du maquillage est capable d’identifier les préférences de chaque utilisateur et de lui recommander des produits sur-mesure. L’IA analyse les données de navigation, d’achat et de feedback pour affiner en permanence ces recommandations personnalisées.

Résultat : un taux de conversion 2 fois plus élevé sur les produits suggérés et un panier moyen accru de 30%. Les clientes Sephora se sentent comprises et fidélisées. Donc, une longueur d’avance sur la concurrence !

IA et optimisation de la supply chain chez Unilever

Unilever, géant des biens de consommation, a déployé l’IA dans sa chaîne logistique. Son objectif :  améliorer la planification et la prévision de la demande, en exploitant des algorithmes d’apprentissage automatique. De ce fait, l’entreprise est en mesure d’analyser un grand nombre de variables (tendances de vente, données météorologiques, évènements saisonniers, etc.). En conséquence, elle parvient à anticiper avec précision les volumes à produire. Car les stocks coûtent cher, et les ruptures posent aussi des problèmes !

Résultat : diminution des ruptures de stock de 65% et réduction des coûts de stockage de 35%. Ainsi, Unilever a gagné en agilité face aux fluctuations du marché. Elle est devenue plus fiable auprès des distributeurs.

IA et amélioration de la détection des fraudes chez Mastercard

Mastercard utilise l’IA pour mieux détecter et prévenir les fraudes sur ses transactions. Pour cela, les algorithmes analysent les comportements d’achat en temps réel. Ainsi, ils identifient immédiatement les transactions suspectes, avant même qu’elles ne soient validées.

Résultat : une diminution de 50% du taux de fraude chez Mastercard, combinée à une expérience d’achat plus fluide pour les clients légitimes. La sécurité et la confiance sont renforcés : 2 atouts majeurs pour une entreprise de paiement.

 

Alors, vous vous demandez toujours ce qu’ l’IA peut apporter à votre entreprise ? Ces chiffres ne sont-ils pas des preuves éclatantes que l’IA n’est pas qu’un concept théorique. Ses effets sont à la fois sensibles et mesurables.

Pour l’heure, les grandes entreprises ont pris beaucoup d’avance sur les PME/TPE.

Mais bien entendu, il n’est pas trop tard. En l’intégrant intelligemment, les entreprises peuvent transformer leurs activités, améliorer leur performance et se différencier durablement.

Pour en parler, c’est ici.

Vous pouvez aussi lire cet excellent article 

 

 

 

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Catherine PhilibertQue peut apporter l’IA à l’entreprise ? 3 success stories
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Le CLAN//DIGITAL 200% GIRLPOWER

C’est Google qui nous l’a dit, au départ… particularité de notre entreprise : dirigée par des femmes. Nous, au départ, on n’avait pas réalisé que cela pouvait être une particularité. Et puis on a réfléchi, et décidé qu’on allait le porter fièrement et mieux, le revendiquer. Nous sommes des femmes du numérique !

Oui, on est des filles, des vraies, on aime se pomponner, on est des féministes, on ne voit pas pourquoi les hommes sont payés plus que nous à qualification et expérience égales. On ne voit pas non plus pourquoi les femmes seraient aussi minoritaires dans les métiers du numérique, et on est plutôt inquiètes qu’elles risquent de laisser passer le train des nouveaux jobs d’avenir : sur la data, la cybersécurité, l’IA, etc.

Alors, on s’implique…

Et ce trimestre, nous avons :

  • participé à Revell East : un #hackathon dédié à l’entrepreneuriat au féminin. Un temps pour faire émerger des idées, brainstormer en équipe, un temps pour être coaché et affiner son projet. C’est aussi une occasion de découvrir on écosystème et construire son futur réseau d’entepreneurs.
  • participé au Robotech Days : une journée à l’IUT d’Haguenau, où 5 établissement scolaires et 110 lycéennes et collégiennes ont vécu une expérience immersive dans des ateliers Robotique, UX, proposés par 11 entreprises membres de RESILIAN (Réseau d’Industriels Innovants d’Alsace du Nord).
  • pris la parole au 360 possible à l’occasion d’une table ronde : “Rencontrez des femmes inspirantes et des acteurs engagés” portant sur la mixité dans les métiers du numérique ;
  • participé à une soirée pour faire connaissance et présenter FDN à tous les réseaux féminins du Grand Est…organisée par EstEllesExecutives : ensemble on est tellement plus fortes !

Elles bougent ?

Parce que, selon l’étude de l’OPIIEC, 61 % des garçons sont encouragés par leurs parents à faire une carrière dans le numérique, contre… seulement 33% des filles ! source : ipsos-ephtech oct-nov 2021. Selon la même étude pour le choix des études supérieures : les filles comptent 23 % des candidatures dans le numérique et 34% dans l’ingénierie.

Enfin, il est urgent de se bouger. Et  nous, autant qu’il nous est possible, on le fait !

Vous voulez initier une action en faveur de la mixité dans le numérique ? Contactez-nous !

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Caroline ScheidtLe CLAN//DIGITAL 200% GIRLPOWER

S’il vous plaît… donne-moi toute l’info !

#CduVQ – Vous réservez un séjour clé-en-main, all-in, vol compris.

Deux jours avant le départ initialement fixé, le tour operator vous appelle : votre vol est changé,  initialement direct, il va maintenant comporter une escale, de 1h. Comme nous, vous vous dites que ce n’est pas si grave, heureux que vous êtes de pouvoir goûter aux derniers soleils avant l’automne. Mais une heure, c’est court, vous demandez « et pour les bagages, ils nous suivront ? « . Une voix rassurante vous répond que tout se fera sans intervention de votre part, Hakuna Matata (ne te fais aucun souci) !

Un atterrissage difficile…

Vous arrivez enfin à l’aéroport de destination. Et là, naturellement, vous vous postez devant les convoyeurs, qui promènent tous les bagages…tous, oui, sauf le vôtre.

On vous avait bien dit « Vous n’avez rien à faire? » Alors ne faut-il pas partir à la recherche de la navette qui vous conduira à l’hôtel et attendre ? Vous commencez à douter. On n’est jamais trop prudent, vous vous rendez au guichet « Lost & found » le plus proche, et vous exposez votre cas, l’employé scanne le code barre de votre talon bagage collé sur votre carte d’embarquement initiale… et le verdict tombe : votre bagage est resté à l’escale. Vous communiquez donc les coordonnées de votre hôtel, et on vous assure qu’ils y seront livrés dans quelques heures (il est déjà 19h, un samedi soir).

Et là, vous vous dites « mais comment ai-je pu croire qu’en une heure de temps mes bagages allaient pouvoir être débarqués du premier vol et embarqués dans le second ? » Vous regrettez amèrement d’avoir pris pour argent comptant  les propos rassurants du tour operator. Résigné, vous montez  dans votre navette, ne voulant pas prendre le risque, en plus, de vous retrouver en rade à l’aéroport.

De pire en pire

Arrivé à l’hôtel, vous racontez votre mésaventure à la réception où l’employé vous dit « demain c’est dimanche, vos bagages arriveront sans doute dans 2 ou 3 jours ». « QUOI ??? Mais on n’a même pas une trousse de toilette, pas de vêtements de rechange, tout juste un pull pour le soir… » Catastrophé, vous allez acheter dans les quelques magasins des environs un nécessaire de toilette minimal, on verra bien demain ». Vous dormez mal, faisant le deuil -définitif, la nuit ajoute son lot de dramatisation- de vos effets personnels…

Au réveil,  un sms vous annonce l’arrivée de vos bagages entre 9h00 et 16h00 et quelle n’est pas votre surprise lorsque vous croisez l’utilitaire d’un coursier devant l’hôtel… à 8h45. Vos bagages sont livrés en avance sur l’horaire, un dimanche.

Si j’avais su…

En termes d’expérience client, que retenir de tout cela ? (outre le fait que, la prochaine fois, vous prendrez dans votre bagage cabine de quoi survivre 3 jours…). Tout cela a été très désagréable, mais aurait pu être sans douleur… si vous aviez su !

Car si on vous avait dit que vos bagages arriveraient plus tard que vous, vous vous seriez organisé en conséquence, cela n’a rien de sorcier !

Mais plus grave peut-être, vous n’auriez jamais récupéré vos bagages si vous aviez obéi à la consigne « vous n’avez à vous occuper de rien ». Si vous n’étiez pas allé au guichet « Lost & Found », il n’y avait aucun moyen pour que l’on vous retrouve et qu’on vous livre vos bagages…

Je peux tout comprendre… si on m’explique !

Jusqu’ici, votre expérience client est très négative. Et pourtant, elle aurait pu être tout autre !

Vous pouvez comprendre l’impossibilité que vos bagages vous suivent, si vous êtes prévenus à l’avance. Vous savez que faire si on vous a indiqué de vous rendre, dès votre arrivée, au guichet « Lost &Found » pour qu’on organise la livraison de votre valise au plus vite. Et le lendemain vous voyez arriver votre bagage avant l’heure dite. Ce n’est plus du tout la même expérience n’est-ce pas ? Ce que vous retenez, c’est le quart d’heure d’avance dans la livraison de vos effets à l’hôtel ! Et l’expérience est positive !

Donc, dans nos interactions avec les clients, anticipons !

Un imprévu se glisse dans la mécanique bien huilée de votre projet : prévenez immédiatement, en vous excusant et en proposant un plan B.

Le savoir ou pas, cela change tout.

Et pour notre part, nous retenons… que les voyages forment la jeunesse !

PHOTO : Photo by ConvertKit on Unsplash

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SE RENCONTRER : EN PRESENTIEL OU A DISTANCE ?

On dit que la crise sanitaire a accéléré la #transformationdigitale dans les entreprises. Mais généralement, c’est plutôt de #digitalisation dont on parle. La #Transformation – on devrait d’ailleurs se passer de l’adjectif « digitale » – va beaucoup plus loin. Elle change nos modes de travail, nos modèles économiques, et même, notre manière d’interagir, nos relations, notre état d’esprit.

Prenons un exemple tout simple : les rendez-vous (business bien sûr).

Et la visio fut…

L’entré fracassante de la « visio » n’a pas été le simple ajout d’un nouvel outil de réunion : elle a changé notre manière de faire connaissance, d’évoluer dans nos relations, d’appréhender chacune des étapes d »approche ». Et si l’on regarde tout cela d’une manière positive, cela nous permet :

  • d’ajouter une étape intermédiaire entre le mail / téléphone et le rendez-vous physique
  • de gagner du temps sur la décision de continuer ou non la relation
  • d’expérimenter plus facilement (la visio est moins engageante)
  • d’être plus détendu par rapport à l’issue de cette première rencontre virtuelle : pas de culpabilité (d’avoir fait déplacer pour les uns) et beaucoup moins de frustration (pour les autres s’il n’y a pas de suite…)

Les codes changent…

Imaginons un rendez-vous de prospection commerciale, ou de recherche de partenariat…

  • Amorcer le premier contact : le téléphone, un mail, un message privé sur les réseaux sociaux… Là, aucun changement !
  • Faire connaissance : la visio conférence est parfaite pour évaluer l’envie/la possibilité de travailler ensemble.
  • Approfondir la relation : en fonction des distances, des disponibilités, le face à face devient approprié. On a déjà estimé qu’on allait « faire un bout de chemin ensemble ». Une rencontre « en présentiel » est alors, justement parce qu’il existe d’autres options, un signal positif ! Parfois bien sûr, si la distance est très importante, on continue en  visio… Mais la situation est différente.

Et un dernier conseil : il faut désormais être précis lorsqu’on convient d’un rendez-vous :

« en présentiel ou à distance » ?

Photo Charles Deluvio pour Unsplash

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ET SI ON PARLAIT EXPERIENCE COLLABORATEUR ?

 

Pour une entreprise, l’expérience-client reste l’attribut différenciateur le plus important. Car si les produits ou services peuvent être similaires à ceux de ses concurrents, c’est bien la qualité des interactions que peut avoir le client avec l’entreprise qui permet de faire la différence et de parvenir à fidéliser sa clientèle.

Mais pour créer une bonne expérience client, encore faut-il disposer d’équipes de collaborateurs motivés, engagés qui vivent eux aussi… une bonne expérience collaborateur.

Lire aussi : Digital et relation-client : je t’aime moi non plus !

Qu’est-ce que l’expérience collaborateur ?

Selon Wikipédia : « L’expérience collaborateur désigne l’ensemble des interactions et expériences vécues par un collaborateur au sein de l’entreprise, dans les moments clés de son parcours comme dans son quotidien professionnel ».

Un collaborateur qui se sent écouté et pris en compte dans la stratégie de l’entreprise aura donc un sentiment d’appartenance plus fort. Il sera plus engagé dans la réussite de ses missions. L’expérience collaborateur a pour objectif de produire plus d’engagement, de loyauté. Elle contribue également à la construction de la marque employeur.

Car n’oublions pas que les salariés d’une entreprise sont ses premiers prescripteurs en externe.

Cependant, une étude du Groupe Cegos sur les Millenials et le travail révèle un décalage dans les perceptions de part et d’autre :

  • côté salariés, seuls 42% des  20 à 30 ans estiment que leur entreprise développe une politique RH propre à recruter et fidéliser les jeunes talents ;
  • coté entreprise : 80% des DRH pensent que les salariés ont cette opinion .

Alors, quels sont les freins encore existants au développement de l’expérience collaborateur ? 

  1. Le manque de partage d’informations

Il existe pourtant de nombreux outils de partage de documents et autres informations. Pour autant, ils restent sous-utilisés. En effet, existence d’un outil ne signifie pas son appropriation et encore moins son utilisation systématique de la part de tous les collaborateurs. Comment convaincre les salariés les plus réfractaires à la technologie ? Sans doute faut-il aller chercher plus loin le pourquoi des pratiques de chacun au regard du partage de l’information. Il n’est pas facile de favoriser  une vision du travail en faveur de l’entreprise plutôt que  la recherche de la reconnaissance personnelle.

Des Intranets existent depuis quelques années mais ne pas sont pas assez développés dans les petites et moyennes entreprises. Pourtant, ils sont destinés à être le lieu ressource où le nouvel embauché – ainsi que les autres collaborateurs – doit trouver toutes les informations qui lui sont nécessaires.

Parfois, des pratiques managériales instaurant une compétition entre les salariés  renforcent cette segmentation de l’information puisque savoir = pouvoir.

  1. Des outils encore trop complexes

L’accès aux informations sur l’entreprise en générale ou sur des projets spécifiques reste un sujet. A cet égard, bien souvent « trop d’outils tue l’outil ». C’est donc une simplification qui s’impose, afin d’éviter aux collaborateurs d’avoir, comme dans un jeu de piste, à chercher toutes ces informations parfois « cachées ».

Alors que la technologie est de plus en plus au service du parcours client, de sa réflexion au passage à l’acte d’achat. Qu’en est-il du parcours collaborateur dans l’entreprise ?

Du design des outils, à l’accompagnement lors des différentes démarches administratives : de nombreux points sont encore à améliorer pour faciliter le quotidien de ses salariés. C’est ce qui commence à être désigné par « DEX » (Digital Employee Experience)

  1. L’extension du télétravail

Réponse évidente à la crise sanitaire de 2020, le télétravail est devenu une nouvelle habitude.

Comment les accompagner au mieux dans ce changement radical ? Car il s’agit de repenser le mode de travail, de définir les limites entre la vie privée et la vie professionnelle, qui s’exercent dans un même lieu… Sans compter l’impérieuse nécessité d’éviter l’exclusion des collaborateurs à éviter, la digitalisation des activités doit être accompagnée. Un rôle nouveau pour les équipes RH.

Quelques pistes pour accompagner ses salariés à distance :

  • un Intranet facile d’accès et complet
  • l’instauration d’outils de gestion de projet
  • l’élaboration d’un planning
  • la mise en place de team buildings
  • Des feedbacks réguliers
  • Le partage des expériences entre différents pôles de l’entreprise

A l’heure où, de plus en plus les entreprises peinent à recruter, l’amélioration durable de l’expérience collaborateur est essentielle. Les solutions digitales et les changement qu’elles peuvent apporter aux process et habitudes de travail peuvent y contribuer. A condition toutefois que l’entreprise veille à ménager une bonne expérience digitale à ses collaborateurs (DEX). Un bon accompagnement, interne ou externe, peut alors se révéler clé.

 

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l’IA : en quoi elle peut changer les RH

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L’Intelligence Artificielle (IA) n’est pas une innovation, pourtant, de nombreuses entreprises s’y intéressent… Mieux que cela, elle est même entrée dans nos vies quotidiennes, notamment via nos smartphones.

Si l’IA peut apporter beaucoup aux équipes Ressources Humaines (RH), elle a toutefois quelques limites…

 

Que peut faire l’IA pour la fonction RH ? 

Un des challenges de l’ IA est de parvenir à s’adapter aux métiers complexes de la fonction RH. Ses missions sont diverses et variées, il est un pilier central de l’entreprise au carrefour entre l’humain et la recherche de performance pour son entreprise.

L’IA est capable d’analyser une grande quantité de données difficiles à appréhender pour l’être humain. Elle peut ansi soulager les équipes  RH sur les tâches quotidiennes et répétitives, généralement administratives, afin de se libérer du temps et se consacrer à l’humain avant tout : gestion des salariés, écoute et amélioration de leur expérience dans l’entreprise. Selon une étude de Axys, 86% des RH souhaitent que l’IA permette d’automatiser une partie de leur travail et ainsi se défaire des tâches chronophages. L’IA ne remplace pas les équipes RH et ne les remplacera jamais, en revanche, elle simplifie nombre de tâches qui leur incombent.

Autre aspect un peu moins connu de l’IA : en analysant les posts publiés sur les réseaux sociaux, elle peut permettre d’identifier des signaux faibles, par exemple quant à l’adéquation d’un profil à la culture d’entreprise, et même aller jusqu’à anticiper le départ d’un salarié !

 

Quelle forme d’IA pour accompagner les RH ?

Quelques usages  de l’IA par les équipes RH :

Des chatbots peuvent être configurés pour répondre aux questions récurrentes des employés en matière de RH.

Dans le cadre d’un recrutement, l’IA peut permettre trouver un candidat dont les compétences sont en adéquation avec l’offre d’une entreprise. Et pour éviter tous les biais, l’IA se concentre sur les expériences, hard skills et soft skills et ne pas prendre en compte  le genre, la photo, le nom ou l’origine de la personne. L’IA peut étudier le profil d’un candidat en shortlist et valider sa « compatibilité » avec le reste de l’équipe.

Lire aussi : Quand ce sont les soft skills qui font la différence

Mais attention, l’IA n’est pas infaillible puisqu’elle obéit à des  paramètres indiqués par l’humain. Ainsi, en 2015 la plateforme d’IA de recrutement Amazon remarquant qu’une majorité d’hommes postulaient en a conclu qu’il était préférable de recruter des hommes et rejetaient les candidatures féminines. Avec l’IA aussi, il faut se méfier des biais !

 

IA et éthique

L’IA apporte également une nouvelle dimension aux RH, en effet il leur est désormais possible d’avoir accès aux données sur les candidats à un poste et même sur les salariés actuels de l’entreprise. Les réseaux sociaux, blogs ou encore … peuvent être scrutés afin de mieux connaître ses actuels ou futurs collaborateurs. On peut alors se demander où se trouve la liberté personnelle de chacun ? L’IA appelle donc un encadrement du point de vue éthique, et même juridique.

Ainsi, 83% des DRH se veulent être garants de l’éthique suite à la mise en œuvre de l’IA dans leur entreprise.

Un accompagnement des collaborateurs dans cette transition est donc fondamental et nécessaire. Dans ce cadre, 81% des DRH confient qu’ils seront attentifs aux impacts de cette technologie sur les conditions de travail et le bien être des collaborateurs. Ne serait-ce que pour prendre en compte la maturité digitale et les appétences de chacun vis à vis de toutes ces nouvelles solutions digitales qui font leur entrée en entreprise.

 

Conclusion

Le challenge des années à venir, est de trouver le bon binôme homme-machine, de conjuguer la meilleur des deux. Dans le cas de la fonction RH, il va s’agir de se réinventer pour tirer les bénéfices du traitement par l’IA d’un nombre de données qui donne le vertige au cerveau humain… Mais qu’on se rassure : soft skills, intelligence émotionnelle, ont toujours une place prépondérante dans l’entreprise. Et cela risque de durer encore longtemps ! Plus il y a d’IA, plus il faut d’émotion, de créativité, bref… d’humain !

 

 

https://www.axys-consultants.com/blog/digital-data/ia-menace-ou-opportunite-pour-les-drh

https://www.andrh.fr/actualites/1163/rh-digital-lintelligence-artificielle-au-service-de-la-grh

https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/quand-le-logiciel-de-recrutement-damazon-discrimine-les-femmes-141753

 

 

 

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Quand ce sont les soft skills qui font la différence

 

Les soft skills sont l’un des moteurs de la transformation des entreprises… et le Digital leur confère une importance inédite. Les soft skills nous emmènent très loin, et ce n’est pas Thomas Pesquet qui nous dira le contraire ! Cette personnalité fascinante fait rêver les enfants et force l’admiration de tous. Malgré son parcours académique exemplaire pourtant, il n’hésite pas à dire qu’à l’heure de la sélection des astronautes par l’Agence Spatiale européenne,  ce qui a fait la différence pour lui… c’est pour beaucoup ce qu’il a appris après l’école.

Les organisations  se transforment actuellement en entreprises-plateformes, elles exploitent le Big data et l’intelligence artificielle, et pourtant on n’a jamais eu autant besoin de compétences humaines.  Et ne nous méprenons pas, il n’est pas seulement question de titres scolaires et universitaires… mais de ces compétences qu’aucun diplôme n’évalue, qu’aucune école ne nous apprend, si ce n’est l’école de la vie. 

 

Le bas du CV

Ils étaient plus de 8413 à candidater pour être astronautes, seuls 6 ont été recrutés par l’Agence Spatiale européenne, dont Thomas Pesquet. On imagine cette « battle » de niveaux académiques à couper le souffle.  Même s’il dit ne pas avoir reçu de débriefing officiel, notre lauréat français pointe l’exigence de ces missions spatiales… en soft skills. « Sûr et certain, c’est ce « bas du CV » (ndlr : hobbys, occupations extra-scolaires) qui m’a permis de devenir astronaute. Sans ce que j’ai fait après l’école, je n’aurais eu aucune chance à la sélection. Quasiment tous les jours, c’était entraînement de judo, de basket, cours de saxophone, ensemble musical, etc. Natation le vendredi, match le samedi. J’ai appris beaucoup de choses importantes après 17 heures. » (entretien relayé par Le Monde)

Travailler en équipe et garder son calme

Les sports et les jeux d’équipe  nous enseignent à la fois  l’esprit de compétition et l’esprit d’équipe. Ils nous apprennent à gérer les disparités de niveaux ou de performances au sein d’un groupe. Les sports individuels quant à eux nous poussent à nous dépasser.

La pratique d’un instrument de musique apprend la patience, le chemin est long et jonché de fausses notes nombreuses jusqu’à l’interprétation qui enchante… La patience peut aussi s’apprendre en construisant des châteaux de cartes ou en assemblant des puzzles.

Communiquer

Savoir communiquer est aussi une des compétences clés dans les sports d’équipe, pour vraiment faire bloc et dérouler sa stratégie collective. Et lorsqu’on est confronté à la promiscuité d’un vol spatial, qu’on est éloigné des siens pendant des semaines, c’est primordial. Sans doute l’apprentissage des langues – Thomas Pesquet parle français, anglais, russe, espagnol, allemand et chinois –  a-t-il aussi été clé pour travailler dans une équipe cosmopolite !

S’organiser

Avoir plusieurs activités extra-scolaires oblige à être organisé (pour les enfants, mais aussi pour les parents, qui bien souvent jouent les chauffeurs !). Lorsqu’on a de multiples tâches à réaliser en équipe, le sens de  l’organisation est un atout indéniable !

Tester

S’essayer à de nombreuses activités différentes lorsqu’on est jeune, peut être regardé comme un comportement superficiel,  « touche-à-tout ». Or, multiplier les situations différentes, les apprentissages distincts, fréquenter le décalé apprend à s’adapter, à aborder les choses l’esprit ouvert… d’autres soft skills !

Ce ne sont que quelques exemples simples de compétences qui prennent rapidement de l’envergure en entreprise. La lecture attentive de nombre d’annonces de recrutement montre de plus en plus de prérequis en matière de soft skills. Le recrutement qui s’affranchit du traditionnel « Envoyez CV et LM » commence à prendre de l’ampleur. On commence même à envisager la définition de postes sur la base des compétences d’un candidat/d’un collaborateur. Jamais il n’a été aussi nécessaire de s’autoformer, de partager ses connaissances, de se coacher les uns les autres, de travailler en équipe. En tous cas, c’est un des moteurs de la transformation des entreprises.

Alors, merci Thomas Pesquet, non seulement pour vos merveilleux clichés de notre Terre, mais pour la mise en lumière des soft skills et de l’immense richesse qui dort au bas de nos CV dans la rubrique « hobbies ».

 

PHOTO : tim-mossholder–unsplash

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Transformation : 10 idées qui doivent encore faire leur chemin

Voici 10 idées, dont certaines peinent encore à trouver écho dans les organisations.

  1. Dans « Transformation Digitale »  c’est Transformation qui est important.
  2. La Transformation des organisations est une course de vitesse, une vraie compétition, sauf que… il n’y a pas de ligne d’arrivée, une notion qui peut nous être difficile à appréhender…
  3. « Il n’y a qu’un seul patron : le client. Il a le pouvoir de licencier tout le monde, du PDG à l’employé, simplement… en allant acheter ailleurs ». Sam Walton le disait en 1992, c’est encore plus vrai à l’heure où les données foisonnent et ne demandent qu’à être exploitées pour encore mieux servir le Client…
  4. Le Client, il est aussi interne, c’est le collaborateur. Et la concurrence est double : savoir attirer et garder les compétences est aussi vital que trouver des clients. Alors, soignons l’Expérience collaborateur autant que l’Expérience client !
  5. La Transformation, ce n’est pas une affaire de DSI, toutes les fonctions sont concernées, dans un échange permanent entre « Tech » et Métiers. Les métiers de la Data en sont un exemple flagrant : ils ont besoin de se nourrir de l’approche Métier.
  6. La Transformation  est impulsée de la DG vers les collaborateurs, on n’a pas encore observé d’exemple inverse. A terme cependant, elle favorise la communication ascendante (remontées terrains vers le Codir) et la circulation de l’information entre collaborateurs (transversalité).
  7. Jamais le fossé générationnel n’a été aussi flagrant : les Boomers, les X, les Y, les Z ne viennent pas de la même planète. Vous vous souvenez de ce fameux « ok boomer« ? C’est quasiment d’un choc culturel qu’il s’agit. Si les hashtags #FailFast, #Lab #Agilité #OpenInnovation #Test&Learn ne vous parlent pas du tout, lisez, interrogez vos enfants ou neveux ados. C’est tout un état d’esprit qui est en train de changer…
  8. Le Digital ne remplace pas l’humain, au contraire il en demande encore plus,  mais ce sont de nouvelles compétences qu’il va falloir savoir attirer et cultiver. La formation permanente et l’accompagnement deviennent un enjeu, et sans doute une mission centrale des équipes RH.
  9. Les soft skills (créativité, esprit d’équipe, leadership, esprit critique, capacité à résoudre les problèmes) seront les critères à cultiver dans l’entreprise transformée : le règne du diplôme et du cursus scolaire  sur les recrutements n’est plus aussi absolu depuis quelques années.
  10. S’il n’est pas en cours, entamez vite ce questionnement, au risque de vous faire disrupter (ce qui est arrivé aux taxis avec Uber, aux hôtels avec AirBnb) ou distancer par des concurrents qui, eux, auront pris le départ bien avant vous.
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COVID : LE VIRUS DE LA DIGITALISATION ?

 

La digitalisation, la numérisation ont été – et restent – des sujets récurrents de cette crise sanitaire du Covid 19.  2 tendances peuvent être mises en lumière, avec nos quelques 2 semaines de recul sur nos 55 jours de confinement.

  • L’adoption de solutions digitales et de nouveaux usages
  • Des questions sur les pratiques et la culture

 

Solutions digitales : tout s’accélère !

Quelques chiffres[i] pour illustrer la tendance :

  • + 27% pour l’e-commerce
  • + 116% pour le Drive en supermarché / hypermarché
  • 12% des consommateurs ont utilisé une appli bancaire pour la première fois

La digitalisation a rendu possible des pratiques consistant à nous isoler les uns des autres, afin d’éviter la diffusion du virus. Dans cette logique, impossible de ne pas évoquer le télétravail : 70% des français ont dû l’adopter, et parmi eux, 89% n’avaient pas l’habitude de travailler à distance… Nombre d’entre eux ont donc été confrontés à diverses solutions de visio-conférence et de travail collaboratif comme Zoom, Teams, Meet, et autres logiciels.

 

Pratiques et cultures : quelles conséquences

Durant cette période de confinement, de nombreuses innovations ont surgi dans nos vies quotidiennes. En fonction de notre appétence, de nos pratiques antérieures, nous nous les sommes appropriées avec plus ou moins de fluidité. Mais de nombreuses questions se posent pour la suite des événements.

Les pratiques

  • Le confinement a-t-il sonné le glas du présentéisme ?
  • Tous les salariés doivent-ils avoir un bureau physique au sein de leurs locaux ? On observe déjà le « Flex Office » où aucun poste de travail n’est affecté, et où le collaborateur s’installe pour une journée au maximum. Certaines entreprises réfléchissent d’ores et déjà à réduire leurs surfaces de bureau (un poste budgétaire important). D’ailleurs, d’autres, à l’instar de Buffer ou de Zapier, n’ont pas de locaux professionnels… les équipes se retrouvent lors de séminaires 1 ou 2  fois par an…
  • Les super et hypermarchés vont-ils faire du Drive la règle et de la formule traditionnelle l’exception ?
  • Les consommateurs vont-ils continuer à se rendre en magasin physique ? Certes ils ne découvrent pas l’e-commerce, mais vont-ils, lorsque le virus aura disparu, revenir autant dans les magasins physiques ? A l’heure où le retour de marchandise se déroule de manière fluide, quelle saveur aura la traditionnelle « séance de shopping » ?
  • Quel bilan pour les équipes en termes d’efficacité ?
  • De manière générale allons – nous continuer à accepter de passer du temps dans les trajets domicile-travail chaque jour (la question se pose surtout dans les grandes villes) ?

La culture

  • Le « Test and Learn » de la culture digitale a-t-il convaincu ? Accepte-t-on mieux de se tromper, de tâtonner, de réitérer pour apprendre, de ne pas avoir la certitude que « cela va marcher » avant d’essayer ?
  • Le management reviendra-t-il à son statut initial ? Les salariés auront-ils gagné durablement l’autonomie que leurs managers ont dû leur accorder en cette phase de travail à distance ?
  • Les managers sont-ils prêts à s’investir pour maintenir la cohésion d’une équipe délocalisée ? Sont-ils prêts à faire confiance ?
  • Les salariés ont-ils apprécié la latitude d’organiser leur travail ? Ont-ils été déstabilisés ?
  • Le confinement a-t-il fait apparaitre de nouveaux besoins de formation ? de communication ?
  • Alors que 55% de la communication est non verbale, comment éviter de la perte en ligne en situation de télétravail, lorsqu’il s’agit de mettre en œuvre des synergies ou se coordonner, voire d’éviter les incompréhensions ?
  • Quelle cohabitation pour les génération de Boomers, X, Y et Z alors qu’il y a parfois déjà de la « friture sur la ligne »… ?

Et puis surtout, allons-nous revenir à la situation d’avant lorsque ce virus aura disparu des écrans radars ?

De fait, l’exemple de cette crise montre bien les limites de la seule adoption d’outils digitaux : indispensable aux premiers temps du confinement, elle ne répond pas à toutes les questions que pose une vraie transformation. Car les réponses qui manquent ne concernent pas les solutions numériques mais le comportement des managers, des collaborateurs, des consommateurs que nous sommes.

L’heure est peut-être venue de débriefer dans les entreprises, et de tirer les enseignements d’une expérience que nous n’aurions jamais cru devoir tenter !

[i] Deskeo, premier opérateur de bureaux flexibles en France, a interrogé plus de 2 736 professionnels au sujet de leurs conditions de télétravail en date du 27 mars

Photo : guido-hofmann / Unsplash

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